Le tour du monde en 80 jours

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Le tour du monde en 80 jours

Jules Verne: Le tour du monde en quatre-vingts jours

En l’année 1872, la maison portant le numéro sept Saville-row à Londres est habitée par Phileas Fogg. C'est un beau gentleman énigmatique de la haute société anglaise, dont on ne sait rien, sinon qu’il a est fort galant homme. On ne le voit jamais ni à la bourse et ni à la banque. Phileas Fogg est un membre du Reform – Club et incontestablement riche. C'est un club où il joue aux cartes et parle avec ses amis. En tout cas, il n’est prodigue de rien, mais non avare, car partout où il manque un appoint pour une chose noble, il l’apporte silencieusement et même anonymement. Son seul passe-temps est de lire les journaux et de jouer au whist. Monsieur Fogg joue évidemment pour jouer, non pour gagner. Quand il joue il gagne beaucoup d'argent et le donne tout aux gens pauvres. Le jeu est pour lui comme un combat contre une difficulté.

Personne ne connaît Phileas Fogg ni femme, ni enfants et ni parents. Il vit seul dans sa maison de Saville-row.

Phileas Fogg a un domestique qui s’appelle Jean Passepartout, un surnom qui indique son aptitude naturelle à se tirer d’affaire. Il a déjà été chanteur ambulant et sergent de pompier à Paris. Passepartout aime la tranquillité.

Il y a eu un vol à la banque d'Angleterre et cinquante-cinq mille livres ont été volés. Au Reform - Club ils discutent du vol et soudain Phileas Fogg dit qu'il veut faire un tour du monde en 80 jours. Ses amis disent que ce tour ne serait pas possible. Mais Fogg indique qu'il veux parier. Ils sont d'accord et parient pour vingt mille livres. (® premier passage)

Phileas Fogg rentre à la maison et dit à Passepartout d'aller chercher leurs passeports et d'emporter dans un sac rien qu'un pantalon, une chemise, des sous-vêtements et une cravate. Passepartout est très surpris et il demande si son maître voulait faire un voyage. Phileas Fogg répond d’avoir l'intention de faire le tour du monde en 80 jours. Phileas Fogg va chercher tout son argent pour pouvoir acheter tout ce dont ils auront besoin pendant leur voyage. Passepartout est de plus en plus surpris et ils partent en vitesse le 2 octobre 1872 à 20 heures 45.

Ils se rendent à Suez où un inspecteur de la police anglaise ( Monsieur Fix ) voit Phileas Fogg et est très surpris parce que le signalement du voleur de la banque d'Angleterre correspond exactement à celui du voyageur.

Fix décide de les suivre. Régulièrement il rencontre Passepartout qui ne se méfie pas quand il voit Fix tout au long du voyage. Ils continuent le voyage à Bombay et les trois pense partir en train à Calcutta. Malheureusement, le chemin de fer est en panne. C’est pourquoi Phileas Fogg achète un éléphant. C’est la seule possibilité pour prendre le bateau de Calcutta à Hong - Kong! A Calcutta ils sauvent une femme indienne qui a été condamnée à mort et elle veut les accompagner. Cette jeune dame s'appelle Aouda.

Quelques heures plus tard les trois arrivent à Calcutta et le bateau pour Hong – Kong n'est pas encore parti. Ils embarquent tous.

Tous arrivent à Hong - Kong et continuent directement le voyage vers Shanghai. Fix les suit et il se demande toujours qui est la dame qui accompagne Phileas Fogg.

A Shanghai ils ratent le bateau pour Yokohama et décident de prendre celui pour San Francisco qui partira le lendemain. Passepartout pense que le pari est perdu, mais Phileas Fogg le rassure et dit que tout ira bien.

Après un jour ils arrivent à San Francisco et Monsieur Fix les suivent encore. A San Francisco ils prennent le train pour New York et à deux kilomètres de San Francisco des indiens attaquent les voyageurs. Heureusement Fogg et Passepartout peuvent fuir. Après New York ils se rendent en Angleterre. A cette dernière destination Fix arrête Phileas Fogg à Liverpool mais il entend que le voleur a déjà été arrêté. Monsieur Fix le remet en liberté, mais Fogg pense, qu’il ne va plus gagner son pari et il est en train de perdre vingt mille livres. Heureusement il a fait une erreur: Il croyait qu’il était déjà le 21 décembre quand il était arrivé à Londres, mais c’était le 20 décembre, soixante-dix-neuf jours après son départ, parce qu’il allait au-devant du soleil, et par conséquent, les jours diminuaient pour lui d’autant de fois quatre minutes par degré de latitude. Par hasard Passpartout explique cette situation à Phileas Fogg qui arrive encore à temps au Refom-Club (® deuxième passage).

Il gagne son pari et marie Aouda le lendemain.

 

 

Interprétation

Le livre de Jules Verne décrit le voyage d’un personnage énigmatique de la haute société anglaise. Il nous montre la vie quotidienne des gens étranges, leurs vies anciennes et leur situation politique avec plusieurs stations d’un tour du monde. Verne présente la géographie mondiale avec les possessions des pays européens et leurs intérêts, les noms des montagnes et des mers connues. Jules Verne travaille avec des préjugés : L’Angleterre est connue pour sa précision, sa ponctualité, son progrès technique, son habileté à négocier, son télématique et sa police couronnée de succès. L’Égypte (f) est devenue connue parce que les Anglais ont battu le canal de Suez. Les Indiens sont souvent des indigènes sauvages qui sont très dangereux et absolument imprévisibles. C’est pourquoi que Phileas Fogg a sauvé une Indienne appelée Aouda qui a été condamné à mort. À mon tour, j’interprète cette délivrance un peut curieux: L’Angleterre doit «sauver» et élever les Indiens qui vivent sans l’éducation comme des bêtes sauvages.

Le Japon représente un monde extraordinaire; Les Japonais mangent des nourritures inhabituelles avec des bâtonnets. Et d’ailleurs des Japonais sont des gens qui ont des yeux bridés.

Les Américains sont des personnages brutales. On ne négocie presque rien, on se rosse de chaque détail. Par exemple Phileas Fogg voit une bagarre. Le seul raison pour cette lutte était une élection d’un juge régional.

La dernière étape décrit un «autre» caractère de Phileas Fogg qui a pu capturer un bateau. Cette situation semble un peut bizarre parce que Fogg est en général un personnage énigmatique.

Monsieur Fix, un inspecteur de la police anglaise suit Phileas Fogg autour le monde. Cette poursuite symbolise une erreur de la police (personne n’est parfait et la police non plus!) et la flexibilité des fonctionnaires de la police anglaise.

Jules Verne était convaincu du progrès de la technique et était fasciné par les moyens de transport et de la télématique. Il décrit exactement les détails des commandes à 1a vapeur. C’est pourquoi que ce livre symbolise une sorte d’une leçon de géographie et de la technique moderne.

 

 

L’opinion personnelle (en général)

 

J’ai choisi ce livre parce que je veux faire un tour du monde une fois dans ma vie. Avant environ 10 ans j’ai vu le film et j’ai été fasciné de cette histoire folle. Phileas Fogg était une personne adroite qui savait tout et il était un optimiste qui a pu réaliser chaque détail de son grand voyage. D’ailleurs ce membre du Reform-Club semblait d’être un beau gentleman énigmatique de la haute société anglaise, dont on ne sait rien, qu’il était incontestablement riche. Heureusement il n’était prodigue de rien, mais non avare, car partout où il manquait un appoint pour une chose noble, il l’apportait silencieusement et même anonymement.

Malheureusement Jules Verne compare la France et l’Angleterre avec d’autres nations. (J’ai écrit les détail de mon opinion dans l’interprétation) C’est pourquoi qu’on peut critiquer cet auteur. Il ne critique pas du tout la situation sociale et ne recommande pas non plus une opinion politique.

Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne est bien écrit et facilement à lire. Je peux recommander ce livre.

 

 

Premier passage

De Londres à Suez par le Mont-Cenis et Brindisi, railways et paquebots 7 jours

De Suez à Bombay, paquebot 13 jours

De Bombay à Calcutta, railway 3 jours

De Calcutta à Hong-Kong (Chine), paquebot 13 jours

De Hong-Kong à Yokohama (Japon), paquebot : 6 jours

De Yokohama à San Francisco, paquebot. : 22 jours

De San Francisco à New York, railroad : 7 jours

De New York à Londres, paquebot et railway 9 jours

Total 80 jours

 

-Oui, quatre-vingts jours ! s'écria Andrew Stuart, qui, par inattention, coupa une carte maîtresse, mais non compris le mauvais temps, les vents contraires, les naufrages, les déraillements, etc.

-Tout compris, répondit Phileas Fogg en continuant de jouer, car, cette fois, la discussion ne respectait plus le whist.

-Même si les lndous ou les Indiens enlèvent les rails! s'écria Andrew Stuart, s'ils arrêtent les trains et scalpent les voyageurs!

-Tout compris », répondit Phileas Fogg, qui, abattant son jeu, ajouta : « Deux atouts maîtres. »

Andrew Stuart, a qui c'était le tour de « faire », ramassa les cartes en disant: « Théoriquement, vous avez raison, monsieur Fogg, mais dans la pratique... »

-Dans la pratique aussi, monsieur Stuart.

-Je voudrais bien vous y voir.

-Il ne tient qu'a vous. Partons ensemble.

-Le Ciel m'en préserve! s'écria Stuart, mais je parierais bien quatre mille livres qu'un tel voyage, fait dans ces conditions, est impossible,

-Très possible, au contraire, répondit Mr. Fogg.

-Eh bien, faites-le donc !

-Le tour du monde en quatre-vingts jours ?

-Oui.

-Je le veux bien.

-Quand ?

-Tout de suite.

-C'est de la folie! s'écria Andrew Stuart, qui commençait a se vexer de l'insistance de son partenaire; Tenez! jouons plutôt.

-Refaites alors, répondit Phileas Fogg, car il y a maldonne. » Andrew Stuart reprit les cartes d'une main fébrile;

puis, tout a coup, les posant sur la table: Eh bien, oui, monsieur Fogg, dit-il, oui, je parie quatre mille livres !...

-Mon cher Stuart, dit Fallentin, calmez-vous. Ce n'est pas sérieux.

-Quand je dis: je parie, répondit Andrew Stuart, c'est toujours sérieux.

.-Soit! dit Mr. Fogg. Puis, se tournant vers ses collègues :J'ai vingt mille livres (500 000 F) déposées chez Baring frères. Je les risquerai volontiers...

-Vingt mille livres ! s'écria John Sullivan. Vingt mine livres qu'un retard imprévu peut vous faire perdre !

 

Deuxième passage

« Huit heures quarante-quatre! » dit John Sullivan d'une voix dans laquelle on sentait une émotion involontaire.

Plus qu'une minute, et le pari était gagne. Andrew Stuart et ses collègues ne jouaient plus. Ils avaient abandonne les cartes! Ils comptaient les secondes ! A la quarantième seconde, rien. A la cinquantième, rien encore!

A la cinquante-cinquième, on entendit comme un tonnerre au-dehors, des applaudissements, des hurrahs, et même des imprécations, qui se propagèrent dans un roulement continu.

Les joueurs se levèrent.

A la cinquante-septième seconde, la porte du salon s'ouvrit, et le balancier n'avait pas battu la soixantième seconde, que Phileas Fogg apparaissait, suivi d'une foule en délire qui avait force l'entrée du club, et de sa voix calme:« Me voici, messieurs », disait-il.


© by Christoph Banik
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Last update: 1. Mai 2000